Avant de commencer, on est d’accord que ça fait titre de film ? En déplacement pour quelques jours j’en profite pour mettre à l’épreuve ma résilience de récent Digital Nomad, mon Macbook et de quoi noter dans le sac à dos. La première règle à connaître dans cette situation tient en 9 lettres : “Starbucks”. Un bureau, une prise électrique et une connexion internet contre un café. Plutôt correct. Et quand en plus tu te trouves dans la ville historique de la plus célèbre des sirènes (après la pote à Sébastien), tu t’en fais un devoir.
Levé de bonne heure j’en profite quand même pour aller marcher et satisfaire mon âme de photographe. Et il y a de quoi faire. Je voudrais tellement capturer la musique et l’odeur de Seattle. Mais ça c’est sur la carte mémoire des souvenirs : les mouettes, les sirènes qui hurlent entre deux blocks, l’odeur soufrée portée par les courants d’air au milieu de ce gigantesque labyrinthe de constructions. Je prends et sauvegarde tout ce que je peux.
D’autre part quand on parle d’énergie concernant les villes, je confirme. Seattle a la sienne : elle se dresse pleine de défis et de détermination face à la mer. Ça me donne la gouache dont j’ai vraiment besoin pour travailler. Direction Starbucks donc pour ceux qui suivent, je commande mon Lavender Oatmilk Late, choisis mon spot et me mets dans ma bulle. Aussi je laisse quelques clichés ici :